La technologie RFID (Radio Frequency IDentification) de plus en plus utilisée dans les bibliothèques ne serait pas la révolution que l’on attendait selon un bibliothécaire parisien. En 2008, cette technologie avait été d’abord mise en place dans trois bibliothèques parisiennes (la bibliothèque du cinéma François Truffaut, la bibliothèque Chaptal et la médiathèque Marguerite Yourcenar) avant d’être étendue à d’autres.
Le principe est simple : on colle une puce qui émet des radiofréquences sur un livre. Ce dispositif couplé a des automates et des logiciels devaient rendre la vie des bibliothécaires plus simple et leur permettre de passer plus de temps auprès des usagers.
Seulement voilà, trois ans après la mise en place de ce système, notre bibliothécaire parisien n’en dresse pas un portrait des plus avantageux.
La présence d’étiquettes qui ne contiennent aucune information (alors qu’elles sont censées regrouper le code-barre et l’antivol du livre), les problèmes de gestion des documents multiples (livre + CD + DVD par exemple) les puces RFID peineraient à vérifier la complétude de tels documents, l’impossibilité d’intégrer la RFID au système de gestion des bibliothèques (SIGB), les inventaires à la volée (c’est à dire sans toucher aux documents) ne fonctionnent pas, et enfin les étiquettes sont plus grosses que des antivols magnétiques.
D’autre part, il affirme qu’il est tout de même nécessaire de bloquer du personnel pour expliquer le fonctionnement des automates et gérer les problèmes (et autres bugs) avec les usagers. Il suppose aussi, même s’il avoue ne pas connaître les chiffres exacts, que mettre en place le système RFID et en faire la maintenance coûte cher. Et de soulever qu’une puce RFID est bien plus fragile et plus nocive pour l’environnement (présence d’un circuit intégré) qu’un code-barre imprimé.
S’il a déjà rédigé un bilan sur cette question qu’il espère pouvoir rendre public (notamment via la BBF), il ne s’attend pas à voir les choses bouger de si tôt. « C’est une question d’idéologie » nous a-t-il confié, expliquant que personne ne s’élèvera contre la RFID parce que ça fait « moderne » .
Il estime aussi que la RFID permettrait d’employer moins de fonctionnaires, constatant qu’il y a eu de nouveaux établissements, une augmentation du nombre de prêts, mais une masse salariale « plutôt stable ». En période de crise et avec la politique de non-remplacement d’un fonctionnaire sur deux, la RFID serait bien pratique.
On pourra trouver une version raccourcie du bilan de ce bibliothécaire sur le blog Social Nec Mergitur ! Les différentes bibliothèques parisiennes contactées par ActuaLitté n’ont pas tenu à évoquer officiellement la question de ces puces…
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